Retour sur l’ultra marin de QSN

Alexis pour les Marcheurs Nordiques nous raconte

« Louis-Michel, Claude G et Jakez se sont particulièrement distingués samedi 1° juillet sur les 29 kms du parcours proposé, le premier terminant en 4h 04′ 12″, laissant plus de 750 malheureux (ses) derrière lui !

Bravo donc à l’intéressé ainsi qu’à Claude et Jakez qui complètent avec bonheur notre première participation à cette belle course à laquelle nous avons déjà envie de nous inscrire pour 2018 !

Merci également à Christine pour ses encouragements et photos ! »

Valérie pour les Runners du 56 vous fait revivre sa course

« Voilà c’est fini et je voudrais encore y être : je suis sur un petit nuage depuis dimanche 00h19.55s, heure de mon arrivée sur le port de Vannes en sprint après 58.5 km de sensations extraordinaires !!

16h arrivée à Sarzeau, plutôt détendue après 1 semaine de stress et de doutes !! Photos et échanges sympas avec les copains du club et les supporters Quiberonnais !

16h45,Gilou le speaker qu’on aime entendre sur les départs nous chauffent à fond en musique, il fait beau, il fait bon (21 degrés), le palpitant s’emballe, çà trépigne d’impatience; perso, je n’en peux plus, il faut y aller !!

17h GO!!
Armand, Didier et sa fille , Laurent et moi partons ensemble tranquille, heureux d’être là !!

Sur les 5 premiers kilomètres, çà a pas mal bouchonné : 1500 coureurs sur les chemins étroits ne passaient pas !!
Après çà; c’étaient partie, envie d’allonger la foulée, l’échauffement était fait, état d’esprit au beau fixe, envie de courir, envie d’avancer, je suis bien !!

J’ai déjà commencé l’entretien de ma machine : boire toutes les 10 minutes et manger toutes les 20 minutes.

Les kilomètres défilent , je suis contente d’être là , je me sens bien ; encore avec les copains qui eux aussi vont bien à ce moment là !!

Au 15ème au top de mes sensations, cardio très calme à 9 km/h, jambes légères, j’ai envie d’allonger ma foulée ; avant de le faire, je me pose des questions: est ce que je ne vais pas le payer plus tard, est ce que je ne vais pas me mettre dans le rouge au cardio et ne plus redescendre après ?
Après quelques secondes, sans plus d’hésitations, je suis partie progressivement en laissant mes copains, que je reverrai 3 km plus tard pour Didier.

Au ravitaillement à Séné au 36ème km pour Armand qui m’annonce qu’il a abandonné et Laurent et Axelle à l’arrivée sur le port !!
J’ai donc continuer seule jusqu’au 17 ème km , premier ravitaillement où je passe rapidement juste pour un bisou à mon petit Tim .

Didier arrive et on décide de repartir ensemble pour 5.5 km jusqu’au ravitaillement suivant ou je m’arrête 2 minutes le temps de remplir ma poche d’eau .
Prête à repartir après 22.5 km déjà parcouru, Didier me dit d’aller devant et c’est à ce moment là que je ne reverrais plus personne ; heureusement qu’il y avait ma famille et tous nos supporters Quiberonnais ( Galu , Sabine, Catherine ) qui nous ont suivi jusqu’au bout !!

Un peu de musique sur les oreilles, je me sens trop bien, limite à me poser des questions ( Coach Thierry dit toujours »unhautannonceunbas »!!)

Je tiens mon allure à 9km /h jusqu’au 35 ème km, toujours en forme, ma famille sur les bords de la route toujours présente pour me soutenir jusqu’à ce que mon genou droit me donne une petite alerte, pas douloureux mais gênant .
A ce moment là, je discute avec 2 messieurs très drôles, qui s’appelaient par des petits noms mignons me faisant beaucoup rire et ils se motivaient l’un et l’autre en se promettant des choses coquines pour la nuit si ils passaient l’arrivée ensemble : je vous laisse imaginer !!!

C’est çà aussi la course longue distance, on partage, on échange, on fait des rencontres drôles et sympas qui font oubliées qu’on a un genou qui fait des siennes !!!

36ème km, Ravitaillement de Séné, le seul où on peut manger !!
Mon fils m’annonce que j’ai 35 mn d’avance sur mes prévisions à ce pointage; trop contente je n’ai pas envie de trainer mais j’ai faim de salé, alors je prends 8mn pour manger des Tucs et du fromage, je recharge en eau, je mets du froid à l’arnica sur mes jambes et je prends de l’énergie via des milliers de bisous et encouragements que me font mes 2 fils Théo et Tim présents sur le parcours et me disant qu’ils étaient fiers de moi !!
A ma grande surprise, je vois mon copain Armand qui m’annonce qu’il avait abandonné, j’étais hyper déçue pour lui, triste mème parce qu’on s’est entrainé ensemble rigoureusement et il méritait d’être finisher !! Partie remise mon Armand !!!

21h27 c’est reparti pour certainement, je le savais dans un coin de ma tête, des moments difficiles. Je me rappelais de l’année dernière que ces 22 derniers kms sont plus difficiles au niveau du terrain, la fatigue va forcément se faire ressentir, j’étais inquiète que mon genou se réveille un peu plus aussi !! Mais c’est là que le mental intervient, tout un travail que j’avais préparé à l ‘entrainement !! et oui le physique mais aussi le psychique !!
Je m’imagine alors passer la ligne bleue avec tous les gens que j’aime qui m’attendent!!
Et voilà , je repars un peu frissonnante, sous les applaudissements et encouragements de ma famille, et les supers supporters de QUIB : Galu et sa bande !!!!

15 minutes de courses et c’est bon, je suis à nouveau dans ma course sur une allure réduite pour vivre au mieux cette fin d’aventure !
Petit texto bienvenu de coach Thierry qui me dit que c’est dans la tête et me donne mon classement à ce moment là ( 664 ème sur 1500 ) , je n’en revenais pas !!

Je lui renvoie que mon genou me gène et il me donne alors les conseils de changer ma foulée, de me décontracter, de courir souple, de me redresser et me dit que je suis devant Gilles Bouleau le journaliste de TF1 (rires)!!
J’applique tout çà en bonne élève que je suis et parfait, le genou supporte les kilomètres, les sensations sont plutôt bonnes mais je garde mon allure réduite pour pouvoir garder du jus jusqu’au bout .
Me revoilà sur le bord de mer avec un coucher de soleil splendide, que du bonheur, les jambes vont biens, çà déroule, le paysage est beau !!

8 km se sont écoulés , arrivée à Port Anna dernier ravitaillement eau ; je m’arrête 2 mn pour remettre du froid sur mes jambes .
Le marathon est passé ( bon pour le mental), j’ai déjà couru 44.5 km, il ne me reste plus que 14 km avant la ligne bleue !

Mon fils Théo m’accompagnera sur cette fin de course en jouant un rôle important ; il fait maintenant nuit, je vais donc finir ma course à la frontale !!

Petites discussions avec Théo qui me donne l’allure tout en me protégeant du vent, il me fait rire , il m’occupe l’esprit et je retrouve mon allure du début de course en marchant dans les cotes pour que les jambes lourdes à ce moment là tiennent jusqu’au bout. C’était dur, la fatigue se faisait ressentir mais une force au niveau du mental m’envahissait, sensation que je n’avait jamais ressentie avant ce jour !!

Çà y est , on aperçoit les lumières du port de Vannes, j’ai souvenir que c’est encore long alors que l’on pourrait croire le contraire ; il reste alors 6 km ;
Coup de mou = noix de cajou , j’avais faim , ce petit moment était top , j’ai rechargé mes batteries en quelques secondes .

Théo me remet du rythme, je suis dans un état bizarre, je ne sentais plus mes jambes, j’étais fatigué mais euphorique en même temps!! Et vive le pont de Kerinio!!

On entend alors le speaker (trop contente, l’année dernière, arrivée trop tard, il n’était plus là), je suis refaite, il ne reste plus que le tour du port à faire et les arches d’arrivée sont à moi !!
Comme prévu, Vic ma petite belle fille, nous attend devant la capitainerie avec une banderole « Happy birthday » pour mon Tim qui depuis minuit avait 9 ans .

Quelques mètres plus tard, on accroche Tim à notre train et rempli d’émotion, je pique un sprint sous les arches avec mes 2 fils, mon grand et mon petit, pour passer la ligne d’arrivée sous les applaudissements de spectateurs encore nombreux à cette heure et la « hola » de notre président Steph, Mi Jo sa femme, Brigitte, Patricia et la bande à Galu encore là !!

Je m’écroule, tète au sol, en larmes, heureuse, bluffée, je fais mes 58.5 km en 7h19 : 1h de moins que l’année dernière : INCROYABLE !!!
Je me relève, mon 3 ème fils et mon autre belle fille étaient là , je pleure encore plus !!

Rempli d’émotions tellement fortes, tellement folles qui comblent de bonheur et de sensations inexplicables après avoir accompli un objectif ( finir) travaillé rigoureusement , je suis hyper contente !!

On me pose souvent la question pourquoi tu cours ?? La réponse est là !!

Avec plaisir, j’attendrais l’arrivée de mes copains Finisher : Axelle, Didier et Laurent, que je félicite d’avoir été au bout !
Je félicite aussi mon copain Armand qui a eu la sagesse d’arrêter pour ne pas souffrir: on court plaisir avant tout !!

Voilà les amis , j’espère vous avoir fait passer un bon moment à travers ces quelques lignes de folie !!

 L’arrivée dans la nuit Vannetaise en Vidéo ici : Ultra Marin 56 de QSN

Joël pour le177 km en relais témoigne

Team : « Les Joyeux coureurs » Anthony Le Hénanff, Yann Le Gouill, Joël Samzun et Laouic Sider

 

Raid du Golfe 2017 relais du 177 kms

Cette aventure à démarrer à la fin du relais en duo du marathon de Vannes en octobre 2016, Yann Le Gouill mon camarade îlien comme moi avions trouvé l’épreuve très sympa et pour une fois avons partagé nos sensations tant sportives, physiques et mentales.

De là, nous sommes dit pourquoi pas faire une autre épreuve, le raid du golfe était devenu pour nous une évidence, nous avions déjà participé à cette course Yann sur le 87 & 177 kms et moi 2 fois le 36 kms, avions vu l’arrivée la même année des équipes de relais dans une ambiance très sympa.

Banco on y va !

Date d’inscription en objectif, après avoir étudié le parcours, notre choix des secteurs de courses pour chaque participant, moyenne de 10.5 à 11 km/h sur la durée & au alentour de 18h de course pour l’équipe validés.

1. Anthony Le Hénanff : Ancien & toujours coureur de semi & marathon avec de belles perfs et collègue de trail prendra le 1er relais très roulant avec un passage entre Arradon / Baden technique sur la distance de prêt de 37 kms.

2. Yann Le Gouill : Coureur d’ultras (Diagonale des fous ; UTMB ; Grand Raid de Nouvelle Zélande et bien d’autres épreuves prendra le 2ème relais sur la distance de 53 kms entre L’armor-Baden / Arzon, très roulant également et pouvant assurer une bonne moyenne constante de nuit.

3. Joël Samzun : Coureur de trail distance 15 à 45 kms adorant les terrains très techniques avec beaucoup de relances, natif de Belle ile terrain de jeu très exigeant, prendra le 3ème relais sur la distance de 33 kms entre Arzon / Sarzeau terrain à 80% de sentiers pierreux, truffé de racines et de trous, un vrai champ de mines pour une parti de nuit.

4. Laouic Sider : Coureur de trail moyenne et longue distances est capable de tenir un train entre 12 et 13 km/h, prendra le 4ème relais sur la distance de Sarzeau / Vannes sur la distance de 56 kms.

Organisation et assistance préparé en partis par téléphone, notre équipe se retrouve le vendredi 30 juin dans une crêperie à St Goustan sur Auray devant une bonne galette de boudin noir pas de régime la journée risque d’être longue. Carte de l’épreuve de l’année dernière, nous étudions les point de ravitos, d’assistance, d’attente et de repos tout est prévu pour une épreuve sur la durée de 18h.

Mais tout ne fut que péripétie, comme quoi prévoir c’est bien, mais prévoir l’imprévu c’est aussi indispensable, se que nous n’avions pas fait. Mais notre capacité à nous réorganiser est bluffant.

Un raccourci de nos courses :

1. Anthony : par prudemment, car comme tout bon sportif, nous avons toujours des petits bobos, mais lui cela fait un mois qu’il traine une vilaine douleur à la cheville (séquelle d’une vielle entorse mal soignée) et ne fait que du VTT depuis 2 semaines. Nous l’attendons à Port-Blanc sur Baden, Live trail, nous informe qu’il est remonté à la 11ème place au général, nous sommes déjà en avance  par rapport à nos prévisions. Il arrive sur Port-Blanc , il grimasse sa cheville le fait vraiment souffrir , il sert les dents et fini son parcours au alentour de 3h40 à la 18ème place. Superbe perf, nous envisagions être dans les 20 premiers sur L’Armo-Baden. Laouic est déjà parti sur Sarzeau avec son Van pour se préparer, manger et surtout dormir.

2. Yann: prend le relais et part quand la nuit tombe. Je récupère Anthony, on file sur Vannes pour qu’il récupère sa voiture, on le retrouvera après sa douche. Moi, je pars sur Arzon pour me préparer, m’alimenter et surtout me reposer. Arriver à la salle des sports de Arzon vers 23h30, relais prévu au alentour de 4h30 du matin. Pour Yann tout se passe bien, je vois qu’il remonte tranquillement, nos adversaires du jour et surtout de la nuit. Je me couche dans mon Van vers 1h à 2h15 mon téléphone sonne, c’est Yann, il est à l’embarcadère, il arrive dans 30 minutes, relais avancé de 1h30, je n’avais pas prévu de courir autant de nuit. Je fini de me préparer m’alimente.

Je regarde Live trail Yann est 6ème au classement général,

3. Joël : il arrive à 3h00, je lui donne la clé du véhicule après les dernières consignes et vérifications du matériel indispensable, je m’enfonce dans la nuit et attaque mon parcours truffé de pièges avec comme objectif de l’équipe de maintenir au lever du jour la 6ème place. Tout se passe à peu près bien, je vois au bout 1 kms à coureur du grand raid en individuel, il court bien, je décide de rester avec lui pour finir mon échauffement. On est dans un champ et arrive dans un carrefour pas de balise, on prend la décision de partir sur la droite, après 10 minutes à peine, on se rend compte, qu’il n’y a plus de balise demi-tour, il faut que l’on reprend l’autre chemin, 1.6kms de plus soit 3.2kms en tout. Je laisse mon partenaire d’infortune et file sur les sentiers encombrés de racines et de reliefs divers. Les sentiers ressemblent à ceux du Bono mais avec 20 fois plus de racines, je tombe une première fois puis 2 puis 3, je m’engueule « ressaisit toi ! concentre-toi mieux ! tu vas te faire mal ! Il est vrai que la luminosité est limité à mon seul faisceau de ma lampe, je suis à se moment là seul et à une moyenne sur se terrain de 10.5 à 11km/h. je ralenti et passe à 10 cela ne sert à rien de prendre trop de risque surtout sur se terrain, il reste 22 Kms. Mais à peine 2 minutes plus tard, je vois 2 racines, je pose mon appui entre la deux et grosse gamelle, je viens de passer mon pied dans un trou, mon poignet droit viens de lâcher, je ressens une très forte douleur, j’ai la tête qui tourne, je reste assis de longue minutes me relève, ne sent plus mes doigts et l’articulation de poignet. Pour moi il est cassé, je mets mon poignet éponge plus bas et le deuxième du poignet gauche vient en complément cela me le maintient un peu. Je me remets à courir, le point de ravitaillement en liquide n’est pas très loin. J’arrive et voit un coureur avec un dossard Blanc c’est un relais et c’est le 5ème, je demande juste aux bénévoles si ils ont du froid ? NON. Je repars mon poignet, je ne le sens pas, il est engourdi et prends en chasse le coureur, il court à 10km/h de moyenne ça me conviens. Je fais aux alentour 8 bornes derrière lui, je vois que cela ne lui va pas. On n’arrive sur deux coureurs du grand raid et là il se met à marcher avec un des gars, je le double et file vers Sarzeau à la 5ème place, ça me booste. Il me reste à peut prêt entre 7 et 8kms et c’est là que mon poignet se réveille à chaque impact de mes pieds sur le sol la douleur est insupportable, j’appel mes collègues et les informe que j’arrive que Laouic se prépare, mais surtout que je ne vais pas bien et qu’ils préviennent le staff médical de mon arrivé. Avec la douleur cela prend beaucoup d’énergie et ne peu assurer une bonne allure, je fini à 8km/h de moyenne à 3 kilomètres de l’arrivée, je fatigue très vite, il me reste une grosse et belle montée, je la passe, mais derrière un faut plat et Sarzeau en vu, je ne peu relancer j’ai la tête qui tourne la douleur est forte et tiens mon poignet avec l’autre main pour éviter le plus les répercussions de mes appuis au sol. A cet endroit, un gars qui me double avec facilité c’est un concurrent du relais, il vient de me reprendre la 5ème place. J’arrive 5 minutes après, Laouic détache mon porte dossard et file derrière lui. Avec pour consigne de finir entre la 5ème et 8ème place. Moi je suis pris en charge par le médecin qui me procure les premiers soins. Bilan une grosse entorse mais à première vu pas de fracture, un strap, on verra lus tard pour la radio.Laouic : Parcours technique et roulant, il court vers Vannes. Pour nous, soins, douches et manger. Nous partons sur Séné l’attendre au point de ravitaillement sur Live trail, il a perdu une place

  1. et est 7ème, mais on voit bien que toutes les équipes du top 10, on mit des très bons sur la fin.
  2. Laouic arrive à Séné en 8ème place 2 minutes derrière le 7ème, on lui dit maintenant objectif 7ème et tu ne lâche rien ! Il est serein, nous fait un clin d’œil et part avec son adversaire.
  3. Nous l’attendons Yann, Anthony et moi pour le final, il est seul à la 7ème au dernier pointage. Le voilà, il arrive à Kerillio, je décide de prendre un peu d’avance pour m’échauffer les muscle. Au bout de 100 mètres, j’entends crier derrière moi c’est Yann avec Laouic et Anthony, pourchassé par une autre équipe « Cours, Cours » je fonce cela se termine sur un sprint de 2 kms de la folie, les deux équipes sont coude à coude, les promeneurs sont étonnés, il y a beaucoup de monde sur le port de Vannes à 11h45, Alain Galudec se lève de son banc et nous encourages fortement (merci encore). nous passons la ligne d’arrivée 5 secondes devant. Au bout de 177kms c’est un comble d’avoir un tel final.On retrouve, nos familles, nos amies, une bonne boisson (bière), quelque photos. La suite on se retrouve tous à dîner au restaurant, pour finaliser cette aventure extraordinaire de quatre coureurs ordinaires, partageant une même passion « la course en pleine nature »…

Voilà mon épopée avec mes fabuleux partenaires de l’équipe « Les Joyeux Coureurs » un grand, grand merci à eux d’avoir pu vivre cette aventure sportive, humaine.

Nous finissons à la 7ème place au général en 16h45’ et 6ème place équipe masculine, objectif explosé… Merci à tous, pour vos messages d’encouragements pendant l’épreuve et vos félicitations.

L’équipe « les Joyeux coureurs » prêt à remettre cela en 2018.

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